CITYNOX
Un élément de design

L'INOX
esthétisme & durabilité

L'inox et ses propriétés remarquables

La durabilité

L’inox est stable dans le temps

La passivité naturelle

Il résiste à la corrosion grâce à la présence du chrome

La grande variété de types

Il existe des centaines de types d’inox, susceptibles de répondre aux besoins les plus spécifiques

L’une des qualités les plus appréciées de l’inox – en particulier des architectes, concepteurs, designers, décorateurs… – est sans aucun doute sa capacité, au-delà de ses propriétés mécaniques, à constituer un élément de design à part entière du décor dans lequel il s’insère.

L’acier inoxydable offre en effet une liberté de création et de conception architecturales rarement égalée tant par les aspects disponibles que par une large gamme d’épaisseurs. Permettant la réalisation de formes complexes, l’inox offre également d’innombrables possibilités de finition selon son état de surface (mat, brillant, microbillé, brossé, poli-miroir, perlé, gravé, traité pour faire varier sa teinte), s’insérant, révélant, voire sublimant leur environnement. Ce n’est pas un hasard si des architectes aussi prestigieux que Franck Gehry ou Rudy Ricciotti l’ont choisi – ainsi que Citynox – pour certaines de leurs réalisations.

En intérieur ou en extérieur, pour un bâtiment, un magasin, une pièce ou un objet spécifique… choisir l’inox c’est opter pour la noblesse d’un métal alliant durabilité et design.

L’une des propriétés très appréciée de l’inox, est  sa passivité. On dit d’un matériau qu’il est passif lorsqu’il résiste à la corrosion, ne produit pas d’effet catalytique et ne réagit pas avec son environnement. L’inox garde donc ses propriétés et son esthétisme avec le temps. Il est parfaitement adapté à tous types d’environnement, y compris aux plus agressifs, raison pour laquelle il est si prisé des marins.

On pourrait s’étonner de la passivité de l’inox, étant donné qu’il est composé à 72% de fer (ainsi que 18% de chrome et 10% de nickel). En fait, sa passivité est liée à la présence du chrome, qui lui confère sa résistance à la corrosion. En effet, le chrome s’oxyde très facilement. Aussi, lorsque l’inox est exposé à l’air, le chrome étant le plus rapide à s’oxyder, il développe naturellement une couche protectrice d’oxyde de chrome à la surface, avant que le fer n’ait eu le temps de s’oxyder. Cet oxyde, appelé « couche passive », le protège durablement contre tous les types de corrosion. Cette couche passive se régénère naturellement au contact de l’humidité de l’air ou de l’eau. Le fer présent dans l’inox n’est donc jamais exposé aux éléments susceptibles de le faire rouiller, naturellement et continûment protégé par la réaction du chrome à l’air.

Chaque élément intervenant dans la composition de l’inox apporte ainsi sa contribution à l’efficacité de ce métal noble. Le fer lui confère sa robustesse et le rend abordable. Le nickel lui apporte des propriétés mécaniques remarquables. Enfin le chrome le rend inaltérable.

Les caractéristiques de durabilité et d’esthétisme de l’inox sont d’autant plus grandes qu’il existe des centaines de types d’inox, susceptibles de répondre aux besoins les plus spécifiques.

L'inox, un très faible impact environnemental

Il n’est pas seulement recyclable à l’infini. Dans les faits, il l’est aussi majoritairement. Dans la construction, le taux de récupération effectif approche ainsi les 100 %. Et les flux de matériaux pour les produits en acier inoxydable montrent que le recyclage pré-et post-consommation de l’inox se fait couramment. D’ailleurs, chez Citynox, nous recyclons 100% de nos chutes de production.

Inaltérable, l’inox est également neutre vis à vis de l’environnement : au contact d’éléments comme l’eau, il ne rejette aucun composé susceptible d’en altérer la composition. Raison pour laquelle l’inox est très utilisé dans les domaines sanitaires et hygiéniques, par exemple.  

L’état de surface d’un inox va déterminer la façon dont il s’intègre à son environnement et interagit avec le décor.

Par exemple, un inox poli-miroir reflètera son environnement tel un miroir, jusqu’à devenir quasi invisible et ainsi apporter une touche de discrétion ou d’agrandissement à un magasin ou une pièce. A l’opposé, un inox microbillé sera mat et donnera une couleur claire à l’inox.

Or les possibilités de finition de l’inox sont innombrables.

D’une part, nous pouvons lui conférer des rendus variés à l’étape du polissage : d’un brossé rustique jusqu’à un poli-miroir parfait en passant par toutes nuances intermédiaires telles qu’un grain de 120, un grain de 320, une finition scotchbrite, un rendu poli-brillant…

D’autre part, nous pouvons également, par un traitement chimique, épaissir la couche d’oxyde de chrome de l’inox et ainsi obtenir tout une palette de nuances allant jusqu’au noir en passant par le rouge, le vert, le bleu ou le bronze.

Enfin, Citynox a développé un savoir-faire innovant et unique dans la gravure inox, baptisé haptigraphie (contraction du sens haptique et du mot graphie : littéralement le « toucher sensoriel de l’écriture »).

Conçu dans le cadre de l’appel à projets le Mémorial de Notre-Dame de Lorette, ce procédé a nécessité des travaux de R&D poussés, qui ont abouti à la mise au point d’une machine à commande numérique développée par Citynox et dont le process est maintenu secret. Ce procédé permet de graver des tôles de 3×1,5m avec une profondeur de gravure de 0,1mm. Totalement innovant, ce procédé peut être appliqué de l’unité à des grandes séries.

Murs et plafond inox polimiroir

Sol inox pépite

Procédé d’Haptigraphie

conçu pour Notre Dame de Lorette